Une heure de plus, jusqu’à nous

Suite directe d’Une heure de plus, jusqu’à toi, Une heure de plus, jusqu’à nous est donc le deuxième tome publié de la saga Sans demi-mesure. Malgré tout, on ne peut pas dire qu’on prenne les mêmes et qu’on recommence, à la lecture de ce roman. Des personnages apparaissent, d’autres sont étoffés. L’atmosphère est différente, elle aussi. Et pour cause, le tome 1 s’est achevé sur un cliffhanger que personne n’a vu venir. Laissez-moi vous présenter le fond de ce tome 2, garanti sans spoiler.

Ce qui diffère du tome 1

Une heure de plus, jusqu’à toi relatant essentiellement l’histoire d’Eléa, il était normal que le roman soit écrit de son seul point de vue. Dans Une heure de plus, jusqu’à nous, la problématique pointe Eléa et Milan, dans la même mesure. Il m’a donc paru évident de les prendre tous les deux pour narrateurs. Le texte en est plus dense et plus intense.

Si l’on vient d’aborder la forme du récit, parlons désormais du fond. Le tome 1, malgré les émotions fortes et parfois antagonistes, a quelque chose de lumineux. Il est porteur d’espoir. C’est pourquoi beaucoup trouveront le tome 2 de la saga Sans demi-mesure bien plus sombre, pour une partie du roman. L’atmosphère y est pesante, parfois oppressante, justifiant, une nouvelle fois, le classement de cette duologie dans les romances psychologique et à suspense.

En ce qui concerne le contenu à proprement parler, des nouveaux personnages apparaissent et ils ont leur mot à dire. Du côté de Milan, on fait la connaissance d’Olivier, un ami haut en couleurs et au parler sans filtres. Il est rattaché au nouveau département qui entre en jeu dans ce deuxième tome : l’Ariège. Du côté d’Eléa, Jo et Arthur entrent en scène. Bad boys par excellence, ils tiennent une place de choix dans les flashbacks associés à notre héroïne. Pour le meilleur ou pour le pire ? Difficile à dire.

Les thèmes développés dans Une heure de plus, jusqu’à nous

Vous l’aurez compris, ce tome est sensiblement différent de son grand frère. Aussi, les thématiques qu’il aborde le sont tout autant :

• la quête. De qui, de quoi ? Je ne dirai rien, pour ne pas spoiler. Mais il est bien question de courir après son histoire, ici ;
• les âmes soeurs ;
• les amitiés qui se brisent ;
• les addictions ;
• la manipulation.

Oui, tout ceci n’est pas très gai. Malgré tout, je vous assure qu’Une heure de plus, jusqu’à nous n’est pas une dark romance. L’humour et les émotions y sont présents, comme dans le tome 1, apportant un certain équilibre.

La playlist de ce roman

Encore une fois, l’éclectisme est le maître-mot. La playlist de ce roman contient des chansons envoûtantes, tristes, lumineuses. Bref, c’est un cocktail détonnant. Et pour l’écouter, c’est par ici que ça se passe :

👉 Vous voulez découvrir la playlist d’un autre de mes romans ? Pourquoi ne pas vous laisser tenter par celle de ma romance de Noël ? Promis, il n’y a pas que Mariah Carey, dedans.

Elles en parlent

Julie sur Babelio : « J’avais énormément apprécié le tome 1 mais pour être honnête je trouve ce tome 2 encore bien meilleur. Que ça soit dans la forme, dans l’écriture ou dans l’évolution des personnages, de l’histoire, ce second tome est largement au dessus. Tout est au bon endroit, l’intrigue est bien menée et on sent qu’il y a un réel travail derrière les mots et les pages. L’autrice a mis beaucoup de sincérité dans ce livre et ça se sent ! Aussi, j’ai aimé le sens de détails et les petits clins d’oeil que l’on a tout au long du livre ! Clairement, c’est un vrai plaisir à lire, c’est hyper addictif et dynamique et je dois dire que je n’avais pas du tout envie d’arriver à la fin… »

Une lectrice sur Amazon : « Le tome 1 m’avait chamboulée, le tome 2 m’a complètement retournée. »

Anaïs sur Instagram : « Dans ce tome, on prend un virage à 180° et Laetitia rabat toutes les cartes! C’est comme si on avait fait un puzzle, qu’elle arrivait, nous mélangeait toutes les pièces et vas-y débrouille toi avec ça ! »

Comment lire le tome 2 de la duologie Une heure de plus

📌 Pour terminer la duologie en beauté, n’oubliez pas de lire la nouvelle de Saint-Valentin, dernier gros chapitre de l’histoire d’Eléa et Milan.